Vacances syriennes...

11 août 2010

Nous sommes à peine rentrés de Syrie et nous voilà déjà en train de refaire les valises...
Que dites -vous ? ... Encore des vacances ? ...
Oui , mais là, c'est fiston (avec sa copine) qui invite. Il a loué un gîte et comme c'est suffisamment grand, il emmène papa et maman.

C'est pas gentil, ça ?...

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Bon, elles ont mis le temps mais j'ai tout de même réussi à trier et choisir quelques photos de notre séjour en Syrie.

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Lorsque nous avons décollé, le ciel était limpide. Tant mieux, nous ne serons pas secoués.

Pourtant, un peu plus tard, nous survolions une mer de nuages inquiétants.
Sans être secoués...
Ouf !

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La famille nous attend à l'aéroport : Grosses embrassades, petites larmes d'émotion. Ca fait tout de même trois ans que nous ne nous sommes vus...

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Dès notre arrivée, en prenant la route qui mène de l'aéroport vers Damas, j'ai noté que que nous roulions "normalement".

J'observe le compteur : Nous ne dépassons pas les 80.

C'est bizarre. J'interroge le beauf, imaginant une anomalie...

Mais non, aucun défaut à signaler : nous respectons tout simplement le code de la route.
Ca, c'est nouveau. Effectivement, personne ne nous dépasse. Et je peux constater que de nombreux panneaux de limitation de vitesse et des radars ont fait l'apparition le long des routes syriennes.
Un vrai bonheur que de rouler sans avoir l'impression d'être sur une piste d'autos-tamponneuses...!

Ca n'empêche pas quelques embouteillages dans le centre de Damas et pas seulement aux heures de pointe.

Jusqu'à présent, nous avons toujours séjourné à Qassah, le quartier chrétien du centre de Damas.

Notre rue dans le quartier de Qassah...

Cette année, nous allons découvrir Harasta où la famille s'est installée.

De prime abord, ça a l'air d'un gros village. C'est du moins ce que je croyais lorsqu'il y a trois ans nous visitions le futur chantier.

Mais il faut croire que le moindre village syrien peut se transformer en un gros bourg imposant en l'espace de quelques années.
Harasta est une ville qui comptera d'ici peu 40.000 habitants.

Par exemple, ci-dessous, voici ce qu'est devenu le terrain vague d'il y a trois ans :

Lorsque nous prenons la route, nous constatons que le pays ne connait pas la crise. Partout des immeubles neufs ou en construction...

... Ainsi que des hôtels et des restaurants..

Comme ci-dessous, à deux pas du célèbre Krack des Chevaliers.

... Ou celui-là, grandiose et presque fini, en bordure d'autoroute...

... Ou encore celui-ci, pas encore terminé...

... Ou encore, tout là-haut, ce complexe hôtelier (sans complexes) à un jet de pierres d'un nouveau lieu de pélérinage chrétien...

... Une statue de la Vierge érigée au sommet d'une montagne...

Chrétiens et musulmans se pressent en toute fraternité à ses pieds pour accrocher à la grille de petits bouts de papiers sur lesquels ils ont exprimé des voeux ou de la reconnaissance pour des souhaits exaucés.

Devant le monument, comme dans tous les lieux sprituels, un marchand étale images pieuses, chapelets et médailles...

De là-haut, l'on jouit d'un panorama extraordinaire sur les paysages environnants.

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La région regorge d'hôtels et de restaurants.
Ici, nous nous sommes arrêtés pour déjeuner sur la terrasse.
Il faut préciser qu'ici, les terrasses sont conçues pour accueillir plusieures centaines de personnes.
Pour attirer davantage de clients, ce restaurateur a eu l'idée d'installer un mini-téléphérique. Ainsi, entre deux plats, les hôtes peuvent faire un petit tour pour admirer les villages de Zabadani ou Bludan situés en contrebas...

... Où l'on peut voir fumer les barbecues d'autres restaurants...

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Quand son travail lui rapporte gros, l'homme d'affaires l'affiche : Des résidences un brin mégalo poussent comme des champignons à la périphérie de Damas, dans la montagne et au bord de la mer...

Et ce qui me frappe pour la première fois : Il n'y a jamais la moindre grue...

Mais chaque médaille a son revers.

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Le soir venu, de nombreux espaces verts permettent aux Syriens qui ne bénéficient pas de balcons ou terrasses de s'aérer. La plupart du temps, c'est en bordure de route voire d'autoroute ou au milieu des ronds-points. On charge la voiture de chaises, couvertures ou tapis, réchaud à gaz, nourriture et boissons sans oublier le narghilé et des centaines de familles s'installent jusque tard dans la nuit. Certains y restent endormis jusqu'au petit matin.
Seul bémol : le lendemain, il faut une armée d'éboueurs pour rendre présentables les pelouses ainsi squattées...

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Je me perds dans les ruelles étroites du vieux-Damas où se faufilent malgré tout des automobilistes mal-avisés ce qui ne gène nullement les vendeurs qui piquent un roupillon devant leur échope ou d'autres qui prennent le thé en jouant au Chech-Bech (back-gammon) en attendant le chaland...

Et mes pas me ramènent systématiquement vers Bab-Touma (porte St-Thomas)...

... Non sans faire une halte gourmande chez le marchand de Jamed (sorbet au citron).

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Ce que j'apprécie par-dessus tout lorsque je séjourne à Damas, c'est de me promener dans les souks.
Le souk des tissus ou celui de l'or...
Celui des épices...
Le souk de la broderie....
Celui de la quincaillerie et de la métallurgie où aucune autre femme n'a dû s'égarer avant moi et où les hommes me regardent passer avec le sourire...
Celui des stores où je me suis fait tailler les longueurs nécessaires pour ma terrasse et ce, pour quelques euros seulement...

Il n'est pas question de quitter le souk sans un passage obligé chez le célèbre glacier Bakdash. On ne peut pas le louper : On entend de loin les employés taper et malaxer la glace avec de gros pilons de bois ainsi que cela se fait depuis cent ans...
Passage obligé, tous se retrouvent chez Bakdash : étudiants, collégiens, commerçants, fonctionnaires, paysans, touristes...
Déguster au milieu d'une foule hétéroclite une glace crémeuse sapoudrée de morceaux de pistaches, ça a un goût de bonheur !...

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Nous sommes en pleine période de coupe de monde de foot.
Même si leur pays ne participe pas, les Syriens sont de très grands supporters.
Sur chaque façade d'immeuble et jusque dans le plus petit village flotte au minimum un drapeau : allemand, espagnol, brésilien...
Comme nous prenions le frais à Safita, nous avons suivi la finale devant une multitudes d'écrans de télévision disséminés dans le bar où nous nous sommes installés, entourés d'une foule de supporters.

Les supporters étaient en majorité pro-Espagnols.

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Il n'a pas que les radars et la limitation de vitesse comme seules nouveautés. Il y a partout des distributeurs de billets de banque. Et dans le quartier de Salhieh ont été installés des parcmètres et des sabots pour voitures mal garées font à présent partie du quotidien de l'automobiliste damascène.

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On mange bien en Syrie.
D'abord le peti-déj : café ou thé ou maté, fromages, galettes de zatar (mélange d'herbes et de thym).
Le déjeuner : Lorsque nous allons au restau (on y allait tout le temps...) même pas la peine d'essayer de se faire servir un repas à midi ou treize heures.
On déjeune tard.
On commence avec l'éternel café serré et une bouteille d'eau fraîche. Puis on nous sert une multitude de cacahouètes, pistaches et autres petites graines à grignoter. Nous commandons bien sûr une bouteille d'arak que le serveur nous rallonge tout de suite dans une cruche avec de l'eau.
Puis viennent une multitude de petits plats, le mezzé dont tout le monde a entendu parler : salades, hoummos, taboulé, baba-ghanouj, chaussons aux fromage, kébbé... bref, la liste est longue.
Et là, nous mangeons en fumant le narghilé... à moins que ce ne soit l'inverse.
Et ça dure... longtemps... longtemps...
Parce que tout restaurant qui se respecte a un orchestre et une piste de danse. Alors on mange, on danse, on re-mange et on re-danse...
Plus tard, on commande le plat de viande (au kilo...) ou de poisson (en bord de mer).
Pour finir, des plats de fruits de saison : melon, pastèque, pommes, poires, abricots, etc... à volonté.
Il est pratiquement six heures du soir lorsque nous nous levons enfin. En douce, je pousse un soupir de soulagement.
Dans une heure, il fera nuit...

Si l'on déjeune à la maison, c'est plus rapide. Après un verre et quelques (obligatoires) grignotages de petites graines, on passe à table et on se s'éternise pas : ce sera juste un plat puis chacun file dans sa chambre pour la sieste.
Un moment béni que cette sieste. La climm ronronne doucement. Dehors, le bruit des voitures se fait plus rare...

Lorsqu'on se réveille, ce sera café et fruits. La vie reprend, les magasins rouvrent, les gens sortent, les amis et la famille viennent nous rendre visite. La nuit ne va pas tarder à tomber. Le vent se lève. Il fait bon sur la terrasse...

Mais lorsqu'il fait vraiment trop chaud et qu'on est plus que flemmards, nous nous faisons livrer une montagne de sfihas (galettes à la viande) que nous trempons dans du yaourt bien frais...

... ou bien nous faisons une razzia à la sandwisherie du coin :

Et rien de plus appétissant que du pain frais que le boulanger cuit devant nous...
La pâte a bien levé. Le boulanger l'applatit du bout des doigts en la lançant en l'air pour lui donner la forme d'une galette comme le ferait un pizzaïolo, la pose sur un coussin et la colle sur la paroi intérieure du four chaud.

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Il existe des endroits charmants sur les hauteur près de Seidnaya pour pique-niquer. Un terrain plat, ombragé, de l'eau courante, du courant. Avec le temps, certaines installations se sont plus sophistiquées, avec sols cimentés et toit de bambou. On apporte brochettes, viandes, salades, fruits, etc. Les tables et chaises, boissons et glaçons, musique et barbecues sont fournis pour une somme dérisoire.

Le monastère de Seidnaya.

Le site de Cherobim...

C'est la St-Elias. A cette occasion, la paroisse catholique de Harasta invite à faire la fête.
Nous avons tous rendez-vous à la tombée de la nuit pour un grand pique-nique à Chérobim.
Un DJ est chargé de l'ambiance. Des volontaires s'occupent du barbecue. D'autres attisent le feu sous les charbons destinés aux narguilés.
Le patriarche nous rejoint, en toute simplicité.
Puis, très vite, la piste de danse est prise d'assaut... A minuit a lieu le tirage de la tombola. Ca a bien marché. Les fidèles se sont montrés fort généreux. Des dizaines de lots sont distribués aux gagnants. Dans les mois à venir, le curé et la paroisse vivront moins chichement...

Arrivée du patriarche, porté par ses fidèles.

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Une arrivée en grande pompe (VIDEO).

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Filles et garçons : La jeunesse syrienne adore danser (VIDEO).

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Et il n'y a pas que la jeunesse !...Leurs parents aussi aiment ça (VIDEO).

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Dans une autre vie, je veux être chef électricien syrien.

Je m'explique...
La climm est HS dans notre chambre. Pour moi, ce n'est pas très important, je m'en passe très bien. Les volets baissés, les fenêtres entr'ouvertes, un doux courant d'air fait mon bonheur.
Alors le chef électricien est donc venu avec son employé.
Voyant le peu d'entrain que mettait le jeune homme pour se mettre au boulot, je l'ai suivi dans la chambre.
Pas d'échelle... Pas d'escabeau... il monte sur la table de chevet (ben oui, on fait comme à la maison) et avec un équilibre très incertain commence à démonter la climm.
J'appelle mon cher-et-tendre à la rescousse et pars à la recherche du chef...
Je le trouve au salon, affalé sur le canapé, le combiné du téléphone collé à l'oreille, en train de tenir ce qui ressemblait d'après le ton de sa voix à une conversation très intime tout en regardant la télé (bon, je ne vous raconte pas parce que c'était en arabe et que je n'ai rien compris mais je peux affirmer que c'était intime...).
Je m'installe en face de lui en le fixant avec insistance, ce qui n'a pas l'air de le gêner.
Il finit quand même par raccrocher. Et là, il allume une cigarette et continue à suivre tranquillement le programme à la télé.
Il faut avouer que c'est une habitude très syrienne que de se précipiter sur le téléphone pour un coup de fil soi-disant urgent lorsqu'on se rend chez quelqu'un... alors qu'on a un portable dans sa poche. Si, si, j'ai vu faire ça des dizaines de fois. Je me suis même fait des paris avec moi-même : Téléphonera ? Téléphonera pas ?...

Bref, au bout d'un moment, le chef électricien finit par rejoindre son employé qui, la réparation terminée s'apprête à jeter une multitude de bouts de fils électriques, de vis tordues et de chevilles inutilisables par la fenêtre. Mon cher-et-tendre l'a arrêté de justesse en lui lançant un rude "Non mais, tu te crois où ?..."
Ben tiens... en Syrie, voyons...

Et pendant tout ce temps, le chef-électricien a glandouillé.

Dans une autre vie, je veux être chef-électricien syrien...

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Il fait vraiment chaud. Jusque-là, nos séjours en Syrie, c'était en août et on il semblait que c'était le mois le plus chaud. Eh bien, je peux confirmer que juillet n'a rien à lui envier... Dans la capitale, on étouffe. Il fait plus de 40°. Aussi, histoire de nous mettre un peu au vert, nous prenons la route pour Safita où nous allons passer une petite semaine.
Le trajet est agréable. Le long de la route, des lauriers-roses...
Puis la forêt et d'interminables champs d'oliviers.
A mi-chemin, une petite pause-café...

Safita est bâtie sur une colline. Sa principale curiosité est le Castel Blanc, tour érigée par les croisés. D'où que l'on vienne, on ne peut manquer de la voir.

Notre hôtel à Safita

Depuis la terrasse de l'hôtel, on jouit d'un panarama exceptionnel à 360°, même si le temps était souvent brumeux...

... Avec, certains soirs, des couchers de soleil admirables.

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Nous prenons la route de l'ouest pour nous rendre à Beyrouth. L'occasion de visiter les cousins libanais.

Sortie ouest de Damas

Sur la colline, la résidence présidentielle.

La traversée de la plaine de la Bekaa.

L'un des cousins habite sur les hauteurs de Beyrouth. Superbe vue depuis leur terrasse. Tout en bas, la mer... Invible par temps de brume.
Et le temps était brumeux...

L'autre cousin habite la maison familiale à Rachaïa. C'est dans cette maison, celle de sa grand-mère maternelle que mon cher-et-tendre a passé toutes ses vacances. Il ressent toujours une douce nostalgie lorsqu'il y retourne.

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Vous vous demandez pourquoi il n'y a pas plus de photos de lieux connus, de villes qui méritent le détour, de ruines qu'il ne faut pas manquer de voir : Alep, Palmyre, Ugarit, Hama, Bosra...
Nous avions décidé que nos vacances seraient vraiment reposantes. Nous avions pratiquement tout vu, tout visité lors de nos séjours précédents. Donc pas de tourisme au programme cette année.
Par ailleurs, nous avions programmé des consultations chez le dentiste (couronnes et prothèses sont très peu chères en Syrie) et les rendez-vous se sont étalés sur toute la durée de notre séjour.

Envie de voir les photos de mon voyage précédent en Syrie ?
C'est ici : http://snounou67.canalblog.com/archives/2007/09/index.html

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Ancienne cheminote, je ne peux m'empêcher, où que j'aille, d'aller voir à quoi ressemble la gare. Celle de Damas est très belle. Construite au début du siècle dernier par les Turcs avec l'aide d'architectes allemands,le hall de la gare du Hijaz sert à présent de salle de vente et d'exposition.

Rien n'a changé depuis 1940 : les inscriptions en français au-dessus des guichets datent du protectorat.

Gare du Hijaz (photo wikipedia)

Expo-Vente de livres

Maquette du futur hôtel qui sera construit derrière la gare.

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Il n'y a pas de mouches, ni moustiques ni d'ailleurs d'autres bestioles volantes ou rampantes à Damas.
Les services de démoustication passent régulièrement à l'attaque.
Ca sent mauvais. Mais comme c'est assez bruyant, on a donc le temps de fermer portes et fenêtres.

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En vrac, quelques images glanées par ci, par là...
Des vieilles voitures joliment retapées, des poussins multicolores, une journée au bord de la mer, des pêcheurs à la ligne...

Au Liban, une pub pour les cigarettes...

En Syrie, une pub contre la cigarette...

Pas convaincus ? Regardez de plus près...

Encore plus près...

Un bougainviller, une terrasse de restaurant, la statue du sultan Al-Adil, frère de Saladin...

Une chanteuse dans un restaurant dans la campagne syrienne...

L'entrée du souk al Hamidieh...

Banderoles de solidarité du peuple syrien envers le peuple turc après l'attaque israélienne du bateau en route vers Gaza...

Ouvriers du batiment en attente d'un emploi.

Et voilà...
J'ai essayé de vous montrer le quotidien syrien.
J'espère que ça vous donnera envie de visiter ce pays.
N'oubliez pas d'aller voir ICI les autres photos de la Syrie.